Ben Sulayem sur la F1 en Afrique du Sud : "Ce serait quelque chose de formidable".

Cette question a été posée à Mohamed Ben Sulayem de Motorsport-Magazin.com. "Nous avons de très bons contacts en Afrique. Il faudrait mettre davantage l'accent sur l'Afrique. Nous avons un bon vice-président en Afrique. Nous renforçons les clubs locaux là-bas. Dans certaines régions, nous commençons à la base, nous appelons cela 'Motorsport in a Box'. C'est une boîte que tu reçois de la FIA. Elle contient des équipements très simples, comme le chronométrage et des téléphones. Au moins, vous pouvez alors faire des tests de vitesse."

Le président de la FIA a poursuivi en disant que si vous voulez grandir, vous ne pouvez pas le faire d'en haut."Je ne peux pas donner d'ordres, l'eau ne coule pas en bas. C'est l'inverse, elle va du bas vers le haut. Il faut commencer par le bas. C'est pourquoi nous avons récemment lancé 'Motorsport in a Box', nous leur envoyons et nous allons les impliquer dans le sport automobile."

Kyalami

Revenons à la Formule 1 et aux possibilités qu'elle offre en Afrique : Ben Sualyem a tourné autour du pot pendant un certain temps, mais il reconnaît que l'Afrique du Sud pourrait être une option pour la classe supérieure du sport automobile. "En Afrique du Sud, ils ont beaucoup d'histoire dans le sport automobile. Depuis l'année dernière, on parle beaucoup du retour de la Formule 1 à Kyalami. Ce serait quelque chose de formidable pour l'Afrique. Nous pensons aussi à un championnat électrique auquel l'Afrique aimerait participer. Ce serait également une bonne chose" , a-t-il conclu son récit au média allemand.